Epidemiological studies show that there is a correlation between chronic depression and the likelihood of dementia in later life. There is evidence that inflammatory changes in the brain are pathological features of both depression and dementia. This suggests that an increase in inflammation-induced apoptosis, together with a reduction in the synthesis of neurotrophic factors caused by a rise in brain glucocorticoids, may play a role in the pathology of these disorders. A reduction in the neuroprotective components of the kynurenine pathway such as kynurenic acid, and an increase in the neurodegenerative components, 3-hydroxykynurenine and quinolinic acid, contribute to the pathological changes. Such changes are postulated to cause neuronal damage, and thereby predispose chronically depressed patients to dementia.
Los estudios epidemiológicos demuestran que existe una correlación entre la depresión crónica y la probabilidad de desarrollar una demencia. Hay evidencias que los cambios inflamatorios en el cerebro constituyen características patológicas tanto de la depresión como de la demencia. Esto sugiere que un aumento en la apoptosis inducida por la inflamación, junto con una reducción en la síntesis de factores neurotróficos causada por un aumento en los glucocorticoides cerebrales, puede tener un papel en la patología de estos trastornos. Una reducción en los componentes neurodegenerativos, el ácido quinolínico y la 3-hidroxikinurenina, contribuyen a los cambios patológicos. Se postula que tales cambios causan daño neuronal y de esa manera predisponen a los pacientes con depresiones crónicas a la demencia.
Des études épidémiologiques montrent qu'il existe une corrélation entre la dépression chronique et la probabilité d'une démence ultérieure. Il est prouvé que certaines modifications cérébrales de type inflammatoire sont des manifestations pathologiques à la fois de dépression et de démence. Ce qui suggère qu'une augmentation de l'apoptose provoquée par l'inflammation, accompagnée d'une réduction de la synthèse de facteurs neurotrophiques causée par une élévation des glucocorticoïdes cérébraux, puisse jouer un rôle dans la pathologie de ces troubles. Les modifications pathologiques sont dues à une réduction des composés neuroprotecteurs de la voie de la kynurénine, tels que l'acide kynurénique, et à une augmentation des composés neurodégénératifs, les acides 3-hydroxykynurénine et quinolinique. De tels changements sont pressentis comme étant la cause d'altérations neuronales, et prédisposent donc les déprimés chroniques à la démence.